Depuis son arrivée au Canada en 2012, Uber a contribué à transformer l’économie canadienne en favorisant la mobilité et en stimulant la croissance. Les Canadiens profitent de services de transport et de livraison pratiques, sécuritaires et abordables. Parallèlement, Uber et Uber Eats offrent aux chauffeurs et aux livreurs des occasions de revenus flexibles, tout en soutenant les entreprises locales grâce à de nouvelles sources de revenus.
Nous estimons qu’en 2024, Uber a généré 13,6 milliards en valeur ajoutée brute pour l’économie canadienne. Ce montant comprend la valeur directe créée par les chauffeurs, les livreurs et les commerçants, les retombées économiques liées aux chaînes d’approvisionnement, les dépenses des ménages ainsi que l’activité économique stimulée par la connectivité accrue qu’offre l’application Uber.
Uber permet aux Canadiens de se déplacer où ils veulent et d’obtenir ce dont ils ont besoin en quelques clics. De plus en plus de communautés bénéficient de la commodité et de la fiabilité des services d’Uber.
des Canadiens citent la commodité comme l’une des principales raisons pour lesquelles ils choisissent d’utiliser les applications Uber et Uber Eats.
En 2024, une personne sur deux utilisait l’application Uber pour se rendre à un rendez-vous médical ou à l’hôpital, et 42 % l’utilisaient pour se déplacer en cas d’urgence.
Nous estimons qu’en 2024, les applications Uber et Uber Eats ont permis aux Canadiens d’économiser un total de 70,3 millions d’heures de déplacement, grâce à un gain de temps combiné offert par les services de covoiturage et à la réduction du nombre de trajets vers les restaurants ou des heures passées à cuisiner.
Chaque jour, nous estimons qu’Uber Eats est utilisée pour commander de la nourriture ou des produits d’épicerie pour plus de 14 000 fêtes d’anniversaire, 16 000 soupers en tête-à-tête et 50 000 repas familiaux.
Les commerçants canadiens, peu importe leur taille, utilisent Uber Eats pour accroître leur portée et stimuler leur croissance, et ce, même dans des contextes économiques difficiles.
En 2024, nous estimons que l’application Uber Eats a contribué à générer 1,61 milliard $ de revenus additionnels pour les commerçants au Canada — des revenus qui n’auraient pas été réalisés sans Uber Eats ou d’autres applications de livraison.
des PME s’attendent à ce que leurs revenus générés par Uber Eats demeurent stables ou augmentent au cours de la prochaine année.
En moyenne, les PME estiment qu’une commande sur cinq provient désormais d’Uber Eats.
des utilisateurs d’Uber Eats affirment que l’application leur a permis de découvrir de nouveaux restaurants, tandis que 70 % PME indiquent qu’elle les a aidés à rejoindre de nouveaux clients qu’ils n’auraient pas pu atteindre autrement.
En connectant les résidents et les visiteurs aux entreprises locales, Uber contribue à stimuler le pouvoir d’achat des consommateurs au profit des commerces canadiens, et ce, à toute heure du jour et de la nuit. Uber donne aux Canadiens la confiance nécessaire pour sortir plus tard. Nous estimons que cette activité a ajouté 1,17 milliard en valeur économique à l’économie canadienne, y compris les effets liés à la chaîne d’approvisionnement et les retombées économiques indirectes.
des utilisateurs d’Uber ont utilisé l’application pour se rendre dans un restaurant ou un bar.
des passagers déclarent que la sécurité est l’une des principales raisons pour lesquelles ils choisissent Uber
estiment que des options comme Uber contribuent à réduire la conduite avec facultés affaiblies dans leur région
Ensemble, Uber et Uber Eats ont offert à des centaines de milliers de personnes au Canada la possibilité de générer un revenu flexible, dans un contexte de hausse du coût de la vie et d’incertitude économique.
Comparativement à leur meilleure solution de rechange, nous estimons que les chauffeurs et livreurs ont gagné en moyenne 19,6 % de plus grâce à leur utilisation des applications Uber et Uber Eats, générant collectivement 680 millions $ additionnels au total.
Une personne sur deux parmi les chauffeurs et livreurs déclare qu’elle aurait eu de la difficulté à couvrir ses dépenses au cours de la dernière année sans la possibilité de travailler grâce aux applications Uber et Uber Eats.
Grâce à la flexibilité que permet la plateforme Uber, 43 % des chauffeurs et livreurs ont pu passer plus de temps avec leur famille en 2024, totalisant 150 millions d’heures additionnelles de temps passé auprès de leurs proches.
des chauffeurs et livreurs affirment que le travail sur application leur procure un sentiment d’indépendance, et une personne sur deux combine cette activité avec une autre source de revenus.
Uber contribue à promouvoir une mobilité plus durable en facilitant la connexion entre les utilisateurs et le transport en commun le plus proche, tout en offrant des options de trajets zéro émission.
Nous estimons que Uber a aidé à retirer 260 000 véhicules des routes au Canada en rendant les choses plus faciles pour se déplacer sans véhicule personnel.
des utilisateurs titulaires d’un permis, mais sans accès à une voiture, affirment que la disponibilité de services de covoiturage comme Uber est l’une des principales raisons pour lesquelles ils n’en possèdent pas.
des utilisateurs ont eu recours à Uber au cours de la dernière année pour accéder au transport en commun.
Pour ce rapport, Uber a collaboré avec Public First afin de mieux comprendre et mesurer l’incidence des applications Uber et Uber Eats au Canada. Pour ce faire, nous avons utilisé une combinaison de méthodes, notamment :
À partir de ces données, Public First a effectué une série de calculs économiques visant à évaluer la contribution d’Uber à l’économie canadienne. Cette analyse prend en compte les revenus des chauffeurs, des livreurs et des commerçants utilisant les applications Uber et Uber Eats, ainsi que les effets multiplicateurs indirects générés par les activités de la plateforme dans l’ensemble de l’économie.
Pendant une grande partie de 2024, l’économie canadienne a fait preuve d’une résilience notable, malgré les pressions inflationnistes, la hausse des taux d’intérêt et une croissance inégale. Vers le milieu de l’année, la situation a changé : les tensions commerciales se sont intensifiées, avec l’imposition de tarifs sur les produits chinois et les menaces tarifaires et souverainistes des États-Unis, marquant un tournant majeur. Ce qui avait débuté comme une reprise prudente s’est transformé en période d’incertitude accrue, préparant le terrain pour les défis économiques et politiques qui se sont prolongés en 2025.
Alors que le pays s’adapte à des conditions économiques changeantes et à la hausse du coût de la vie, l’économie des applications, dont font partie Uber et Uber Eats, s’est imposée comme une source essentielle d’occasions économiques.
Les retombées économiques de ces plateformes vont bien au-delà des chauffeurs, des livreurs et des utilisateurs,Uber et Uber Eats contribuent à renforcer la résilience du pays, en posant les bases d’une reprise et d’une croissance économiques durables, notamment en :
En aidant les entreprises locales à joindre de nouveaux clients. Les applications, comme Uber et Uber Eats, ont offert aux commerçants canadiens de nouveaux moyens d’atteindre les résidents et les visiteurs.
En créant des occasions de revenus flexibles pour les chauffeurs et les livreurs. L’économie des applications offre des possibilités de revenus fiables et flexibles, qui servent souvent de coussin financier essentiel pour les familles faisant face à la hausse du coût de la vie.
En faisant gagner du temps aux Canadiens. Les applications offrent davantage de commodité, de fiabilité et de sécurité. Elles permettent ainsi aux particuliers et aux entreprises d’économiser un temps précieux, les aidant à être plus productifs.
En soutenant une chaîne d’approvisionnement plus vaste. Les dépenses effectuées par les chauffeurs, les livreurs et les commerçants soutiennent une chaîne d’approvisionnement élargie, générant des emplois dans des secteurs connexes, allant des garages automobiles aux producteurs locaux.
Au total, nous estimons qu’en 2024, Uber a généré une valeur économique de 13,6 milliards $ pour le Canada. Cela comprend l’incidence directe des revenus des chauffeurs, des livreurs et des commerçants qui utilisent Uber et Uber Eats, ainsi que les effets multiplicateurs indirects et induits générés tout au long de la chaîne d’approvisionnement. Elle comprend aussi la valeur économique additionnelle créée par Uber et Uber Eats, en reliant les consommateurs aux économies locales.
L’économie des applications transforme la façon dont les Canadiens vivent au quotidien, pour le mieux. Des innovations comme Uber intègrent la technologie dans la vie de tous les jours, améliorant la qualité de vie globale des utilisateurs canadiens.
Les plateformes de livraison de repas comme Uber Eats permettent aux Canadiens d’accéder rapidement et facilement à une grande variété d’aliments, leur faisant passer moins de temps à cuisiner et plus de temps avec leurs proches. Selon notre sondage, 47 % des adultes ont utilisé une application de livraison de repas au cours de la dernière année, et 39 % affirment commander par ce type d’application au moins une fois par mois.
Chaque jour, nous estimons que Uber Eats est utilisée pour commander des repas ou des produits d’épicerie destinés à :
repas en famille
soupers en tête-à-tête
célébrations d’anniversaires
Lorsqu’on leur a posé la question, les Canadiens ont surtout mentionné la commodité et l’efficacité comme principales raisons de commander leurs repas ou leurs produits d’épicerie à l’aide de l’application.
Les services de covoiturage sont désormais un choix pratique et quotidien pour les Canadiens dans le cadre de leur vie bien remplie. Environ 40 % des adultes ont utilisé une application de covoiturage au cours de la dernière année, une proportion qui s’élève à 59 % chez les adultes de moins de 35 ans.
Les services de covoiturage permettent aux Canadiens de gagner un temps précieux en réduisant les périodes d’attente et en simplifiant leurs déplacements.
Il n’est donc pas surprenant que les adultes considèrent la commodité comme la principale raison d’utiliser une application de covoiturage, suivie de la fiabilité et du coût.
Un élément clé de cette commodité est la possibilité d’obtenir un tarif affiché à l’avance avant le départ. Cette tarification transparente inspire confiance aux utilisateurs et les aide à planifier leurs trajets en toute tranquillité.
des utilisateurs d’Uber affirment apprécier la transparence du prix annoncé avant leur trajet.
Nous estimons qu’en 2024, les applications Uber et Uber Eats auront permis aux Canadiens d’économiser :
en combinant les gains de temps offerts par les services de covoiturage et la diminution des déplacements vers les restaurants ainsi que des heures passées à cuisiner.
Les utilisateurs d’Uber l’utilisent pour leurs déplacements essentiels dans leur communauté. Qu’il s’agisse d’un rendez-vous chez le médecin ou d’un déplacement au bureau, Uber est toujours là lorsque les Canadiens en ont besoin.
Au cours de la dernière année, les Canadiens se sont tournés vers Uber à des moments importants de leur quotidien :
des utilisateurs ont eu recours à Uber pour se rendre quelque part en situation d’urgence.
des utilisateurs ont pris un Uber pour rendre visite à des proches ou à des amis.
des utilisateurs ont utilisé Uber pour se rendre dans un endroit non desservi par le transport en commun.
des utilisateurs ont eu recours à Uber pour se rendre au travail ou en revenir.
Les utilisateurs comptent également sur Uber pour se rendre à leurs rendez-vous médicaux ou à l’hôpital local :
affirme qu’elle n’aurait aucun moyen de se rendre à ses rendez-vous médicaux sans les services de covoiturage.
Les économistes mesurent les avantages qu’apporte un produit ou un service grâce au concept de surplus du consommateur, soit le montant qu’une personne devrait recevoir pour accepter d’y renoncer volontairement. Si un produit ne génère aucun surplus du consommateur, c’est qu’il n’a pas de réelle importance à nos yeux. Un fort surplus du consommateur indique au contraire qu’il joue un rôle significatif dans nos vies.
Dans le cadre de notre sondage, nous avons demandé aux Canadiens combien ils devraient recevoir pour accepter de se passer d’Uber et d’Uber Eats pendant un mois. En 2024, nous estimons que le surplus total du consommateur généré par Uber et Uber Eats s’élève à près de 31,3 milliards $.
Des chaînes bien établies aux nouvelles épiceries de quartier, les commerçants canadiens se disent très satisfaits de leur collaboration avec Uber Eats. Seuls 11 % des PME affirment ne pas prévoir collaborer avec Uber Eats dans cinq ans, tandis que 40 % déclarent qu’ils ne peuvent pas imaginer un avenir sans l’application. Cela démontre à quel point Uber Eats est devenu un élément central des stratégies de croissance des restaurants et des détaillants, même dans un contexte d’exploitation difficile.
L’application offre aux Canadiens une façon simple de commander des repas ou d’autres produits essentiels auprès de commerçants locaux. Cela se traduit par une hausse du nombre et de la valeur des commandes pour les restaurants et les détaillants, entraînant ainsi une croissance des revenus. Nous estimons qu’en 2024, Uber Eats a généré 1,61 milliard $ en revenus additionnels pour les commerçants, des revenus qui n’auraient pas été réalisés sans Uber Eats ou d’autres applications de livraison de repas.
des PME s’attendent à ce que leurs revenus tirés d’Uber Eats demeurent stables ou augmentent au cours de la prochaine année.
des PME ont indiqué que l’utilisation d’Uber Eats avait contribué à hausser leurs revenus, selon notre sondage.
Ces revenus additionnels sont d’autant plus importants dans un contexte économique difficile. Les restaurants et les détaillants sont plus résilients grâce aux sources de revenus supplémentaires rendues possibles par Uber Eats et se disent optimistes quant à la poursuite de cette tendance.
Les applications de livraison comme Uber Eats aident les commerçants à diversifier leur clientèle. Les consommateurs peuvent découvrir un large éventail d’options locales et nationales, dans le confort de leur foyer. Cette visibilité numérique aide les commerçants à renforcer la notoriété de leur marque et à attirer des clients provenant d’un public plus large.
des utilisateurs d’Uber Eats affirment que l’application leur permet de découvrir de nouveaux restaurants.
des PME indiquent qu’Uber Eats les a aidés à rejoindre de nouveaux clients qu’ils n’auraient pas pu atteindre autrement.
La plateforme permet aux restaurants et aux détaillants de tirer parti d’une infrastructure évolutive, en gérant la logistique liée à la prise de commandes et à la livraison, afin que le personnel puisse se concentrer sur la préparation des repas et le service en salle. De plus, l’utilisation d’Uber Eats donne accès à des données précieuses sur les préférences des clients, les heures de pointe et les produits populaires, permettant ainsi aux commerçants d’optimiser leurs offres et d’adapter leur stratégie commerciale.
des PME affirment qu’Uber Eats leur évite d’avoir à se soucier des coûts additionnels ou des défis logistiques liés à la gestion de leur propre service de livraison.
des commerçants de PME indiquent qu’ils n’offriraient pas de service de livraison si Uber Eats n’existait pas.
Mandy’s est une chaîne de restaurants de restauration rapide haut de gamme comptant plus de 16 établissements au Québec et en Ontario. En 2023, l’entreprise a choisi de confier exclusivement la livraison à Uber Eats, en utilisant Uber Eats pour la visibilité et Uber Direct pour assurer la livraison des commandes passées sur le site de Mandy’s.
« C’était une décision audacieuse. Tout le monde nous trouvait fous, mais cette décision s’inscrivait dans notre vision d’une expérience client entièrement fluide. »
Vanessa Fracheboud,présidente
Les données d’Uber soutiennent désormais la planification de l’expansion de Mandy’s. L’équipe analyse les cartes de densité, les rendements régionaux et les volumes de demande numérique d’Uber afin d’identifier les quartiers où un nouveau restaurant aurait les meilleures chances de réussite. Ces données permettent de réduire les risques liés au choix des emplacements, d’orienter la planification des effectifs et des stocks selon les marchés et les saisons, et de valider le potentiel de croissance au-delà du réseau actuel.
« Alors que nous planifions la croissance et les ouvertures de nouveaux restaurants, les données d’Uber Eats continuent d’éclairer notre stratégie d’implantation. »
Vanessa Fracheboud, présidente
Uber Eats constitue également un pilier central du marketing numérique de Mandy’s. Les campagnes cofinancées et la concentration des efforts sur une seule plateforme ont amélioré le rendement, les commandes passées avec Uber affichant un panier moyen plus élevé et offrant une couverture saisonnière plus constante lorsque l’achalandage en restaurant diminue.
« Nous avons investi la totalité de notre budget marketing sur une seule plateforme, un seul partenaire. »
Vanessa Fracheboud, présidente
Fondée en 1986, Lone Star Texas Grill est la plus grande chaîne canadienne de restaurants Tex-Mex à service complet, reconnue pour ses fajitas et margaritas, avec 22 établissements de Ottawa à Windsor. Alors qu’elle s’apprête à célébrer ses 40 ans, Lone Star complète son offre en salle grâce à un partenariat exclusif avec Uber : l’entreprise mise sur Uber Eats pour accroître la découverte de son enseigne et sur Uber Direct pour assurer la livraison des commandes effectuées sur ses propres canaux. Uber Eats représente maintenant environ 6 % des ventes totales.
Sur le plan opérationnel, Uber aide Lone Star à stimuler la demande et à renforcer sa résilience. L’équipe intensifie la publicité et les promotions pendant les périodes plus calmes, notamment les dîners en semaine, et dépend moins de la livraison durant les périodes de forte affluence, comme les vendredis et les samedis soirs. Cette approche permet d’assurer la stabilité des opérations, tant en cuisine qu’en salle, d’optimiser l’utilisation du personnel permanent et d’accroître les ventes et la rentabilité globales.
« Pendant les périodes creuses, chaque commande supplémentaire aide, puisque le personnel est déjà en poste. Uber nous aide à combler ces écarts et à diversifier nos sources de revenus. »
Caley French,VP Marketing
Uber permet également à Lone Star d’élargir sa portée au-delà de ses propres canaux, en plaçant la marque devant de nouveaux clients qui découvrent le menu dans l’application et deviennent progressivement des clients réguliers à plus forte valeur.
« Uber Eats nous amène véritablement de nouveaux clients. Lorsque nous offrons une excellente expérience de livraison, nous constatons une plus grande probabilité que les clients viennent manger sur place ou commandent directement chez nous la fois suivante. »
Caley French,VP Marketing
Empire, la société mère de Sobeys, FreshCo et d’une douzaine d’autres bannières, exploite l’un des réseaux d’épiceries les plus vastes au Canada. En octobre 2024, d’abord en Ontario, Empire s’est associée à Uber Eats pour lancer un service de livraison le jour même pour les petites commandes express. En quelques mois, le service s’est étendu d’un océan à l’autre, couvrant plus de 15 enseignes et plus de 1 000 magasins.
« La plateforme Uber nous permet d’atteindre un segment de la population mal desservi, qui a besoin de petites commandes de dépannage. Les revenus générés s’ajoutent à ceux de nos magasins et à nos autres canaux de commerce électronique. »
Mohit Grover,premier vice-président, Commerce électronique
Ce partenariat améliore également l’accès à l’épicerie pour les Canadiens qui font face à des obstacles aux achats en personne, notamment les groupes plus vulnérables. En combinant la logistique d’Uber à la présence de magasins d’Empire, les clients peuvent recevoir leurs produits d’épicerie rapidement et de manière fiable, même lorsque les visites en magasin ne sont pas possibles.
« Uber Eats nous a permis d’offrir aux Canadiens un service de livraison rapide et fiable pour leurs courses et produits essentiels, partout où les achats en personne ne sont pas une option. Qu’il s’agisse de personnes en situation de handicap ou de résidents de maisons pour aînés. »
Julia Mallett,Directrice, Exécution en magasin
L’infrastructure de livraison d’Uber a également permis à Empire de desservir des marchés ruraux que ses offres de commerce électronique n’atteignaient pas auparavant.
« Nous avons réussi à établir une présence dans des régions plus rurales. Cela inclut Stellarton, en Nouvelle-Écosse, où Sobeys a vu le jour. « Nous n’avions pas auparavant de solution de livraison réellement pratique. Ce partenariat avec Uber nous permet maintenant de desservir les régions où vivent et travaillent la majorité de nos employés. »
Julia Mallett,Directrice, Exécution en magasin
1933 Liquor Co. a ouvert ses portes à Vancouver, en Colombie-Britannique, en 2023. Il s’agit d’une petite entreprise de huit personnes, fondée avec un objectif simple : étendre les ventes en magasin à un peu de commerce électronique. Lors du lancement, le propriétaire, Levi Ruhl, s’attendait à ce que les plateformes tierces, comme Uber Eats — qui facilitent la livraison d’alcool conforme et sécuritaire — génèrent une modeste augmentation annuelle du chiffre d’affaires de 5 à 10 %. La réalité s’est révélée bien plus prometteuse : en moins de deux ans, les ventes en ligne et celles effectuées par l’intermédiaire de plateformes tierces représentaient la majorité du chiffre d’affaires total.
« Nous réalisons plus de ventes par l’entremise d’Uber Eats et d’autres plateformes de livraison qu’en magasin. Je n’aurais jamais imaginé ça au départ. »
Levi Ruhl,Propriétaire
Pour 1933 Liquor Co., Uber Eats n’est pas seulement un canal de vente, mais aussi un véritable moteur d’acquisition de clients. De nombreux acheteurs ont découvert la boutique pour la première fois grâce à l’application Uber, puis sont devenus des clients réguliers en magasin.
« Le ciblage d’Uber fait en sorte que les personnes qui voient nos produits sont déjà prêtes à acheter. C’est beaucoup plus efficace que la publicité en ligne classique, et ces clients n’auraient probablement jamais entendu parler de nous autrement. »
Levi Ruhl,Propriétaire
En tant que nouvelle entreprise, les revenus additionnels générés par les services d’Uber au cours des deux premières années ont été essentiels pour maintenir les activités et accroître la capacité des stocks. Avec les commandes d’alcool qui augmentent parfois lors d’événements — par exemple, les achats de dernière minute de plusieurs caisses de vin —, le commerce a beaucoup réinvesti dans ses stocks pour répondre à la demande en période de pointe. Cela offre aux gens un moyen supplémentaire de se procurer ce dont ils ont besoin, tout en contribuant à réduire la conduite avec facultés affaiblies dans les communautés.
En regardant vers l’avenir, Ruhl prévoit ouvrir d’autres établissements conçus dès le départ pour intégrer une extension numérique de la boutique physique, afin d’assurer que le volume élevé de commandes en ligne soit traité sans perturber l’expérience en magasin.
« Uber fera assurément partie de chaque nouveau point de vente que nous ouvrirons. C’est devenu un élément essentiel de notre croissance et de notre engagement à assurer la sécurité de nos communautés. »
Levi Ruhl,Propriétaire
Fondée en 2017, Seed N Salt propose des salades, des bols, des frappés aux fruits et des déjeuners riches en nutriments à partir de ses trois établissements de Calgary. Le menu repose sur des ingrédients de qualité : vinaigrettes à base d’huile d’olive, aucuns sucre raffiné et fines herbes fraîches, avec un important approvisionnement auprès de producteurs canadiens, dont des microverdures locales, du miel, de l’avoine biologique et du pain au levain artisanal.
En élargissant l’accès grâce à Uber Eats, Seed N Salt rend les choix santé plus accessibles, que ce soit à la maison, au travail ou sur la route. L’entreprise élargit ainsi sa portée tout en maintenant une expérience client uniforme, conforme à ses normes en restaurant.
« Les gens ne réalisent pas qu’ils peuvent commander de magnifiques salades, des frappés aux fruits et même des repas santé pour les dîners de leurs enfants sur Uber Eats. C’est un domaine en pleine croissance pour nous deux. »
Melodie-Joy Miller, Cofondatrice
En 2024, Seed N Salt a choisi de confier exclusivement ses livraisons à Uber Eats. Ce partenariat inclut des rencontres stratégiques régulières, des analyses de marché et des campagnes conjointes de marketing qui génèrent des résultats mesurables.
« Uber Eats, ce n’est pas qu’une transaction, c’est un véritable partenariat. L’équipe a pris le temps de comprendre notre entreprise, de combiner ses analyses à nos connaissances clients et de nous aider à croître. »
Melodie-Joy Miller,Cofondatrice
Aujourd’hui, Uber Eats représente jusqu’à 40 % des commandes à emporter de Seed N Salt, avec des valeurs moyennes par commande supérieures à celles des achats en restaurant. Une campagne conjointe menée pendant le Stampede de Calgary a entraîné une hausse des ventes de 25 % et attiré 500 nouveaux clients en une seule initiative.
Pour de nombreux Canadiens, Uber est devenu un moyen essentiel de se déplacer dans leur ville et leur communauté : 76 % des utilisateurs affirment qu’Uber leur facilite la mobilité urbaine. En permettant aux gens de se rendre plus facilement à différents endroits, Uber les aide à parcourir de plus grandes distances, à rester plus longtemps sur place et à soutenir davantage d’entreprises locales, stimulant ainsi l’activité économique dans les restaurants, les commerces et les attractions partout au pays. En renforçant les liens entre les résidents et les visiteurs et les commerces locaux, nous estimons qu’Uber génère une valeur économique additionnelle de 1,17 milliard $ pour l’économie canadienne.
Uber facilite les déplacements des gens dans leur ville. Les Canadiens peuvent parcourir de plus longues distances et découvrir des endroits qu’ils n’avaient jamais visités auparavant. Ce phénomène crée à son tour une valeur économique considérable pour les entreprises locales, puisque les consommateurs peuvent mieux répartir leur pouvoir d’achat à travers l’économie.
Rien qu’en 2024 :
des utilisateurs d’Uber ont utilisé l’application pour se rendre dans un restaurant ou un bar.
des utilisateurs d’Uber s’en sont servis pour faire des achats.
des utilisateurs d’Uber ont visité une attraction locale, comme une galerie d’arts, un musée ou un parc d’attractions.
Uber a contribué à dynamiser la vie nocturne des Canadiens, leur permettant de rester plus longtemps dans les lieux populaires. Ces avantages profitent non seulement aux personnes qui passent du temps avec leurs proches, mais aussi à l’industrie de l’hôtellerie et de la restauration, qui tire parti de leur fréquentation prolongée.
Selon nos recherches, les Canadiens ont identifié trois principaux obstacles à la participation à l’économie nocturne : 1) le manque d’options de transport en soirée (50 %), 2) la durée des déplacements (45 %); et 3) le sentiment d’insécurité la nuit (36 %). En offrant un moyen de transport sûr et fiable, l’application Uber aide à lever certains de ces obstacles.
La sécurité demeure un facteur déterminant pour les utilisateurs d’Uber. Uber joue un rôle important en permettant aux gens de rentrer chez eux en toute sécurité. L’application offre une solution simple pour les adultes qui ont consommé de l’alcool, contribuant ainsi à réduire le nombre d’accidents liés à la conduite avec facultés affaiblies.
des utilisateurs affirment que la sécurité est l’une des principales raisons pour lesquelles ils choisissent Uber.
des Canadiens reconnaissent que des options comme Uber contribuent à réduire la conduite avec facultés affaiblies dans leur région.
La croissance rapide d’Uber et d’Uber Eats a permis à des dizaines de milliers de Canadiens de profiter de nouvelles occasions de revenus flexibles. 79 % des chauffeurs et des livreurs ont indiqué qu’Uber ou Uber Eats avait été la première application qu’ils avaient utilisée pour générer un revenu d’appoint, souvent en l’intégrant à leurs autres responsabilités.
Ensemble, Uber et Uber Eats ont permis à des dizaines de milliers de Canadiens de gagner un revenu additionnel selon leurs propres conditions. Nous estimons qu’en 2024, les chauffeurs et les livreurs auront gagné collectivement 680 millions $ supplémentaires grâce à leur utilisation de l’application Uber, soit une hausse moyenne de 19,6 % comparativement à leur meilleure solution de rechange.
Ce revenu supplémentaire est d’autant plus important dans un contexte de pressions financières croissantes.
des chauffeurs et des livreurs affirment que le travail sur des applications leur a permis de gagner de l’argent en situation d’urgence.
des chauffeurs et des livreurs déclarent que les revenus additionnels générés par ces applications leur permettent d’assumer la hausse du coût de la vie.
des chauffeurs et des livreurs indiquent que le travail sur des applications les a aidés à payer leurs factures après la perte d’un emploi plus traditionnel.
des chauffeurs et livreurs disent avoir commencé à conduire ou à livrer avec Uber au cours des 12 derniers mois.
Cette flexibilité constitue un avantage particulièrement précieux pour eux. Lorsqu’on leur demande pourquoi ils ont choisi de conduire ou de livrer avec Uber plutôt que de se tourner vers d’autres sources de revenus, la flexibilité est citée comme le facteur le plus important. En facilitant le début et la fin des périodes de travail, Uber permet aux chauffeurs et aux livreurs de travailler selon leurs propres horaires.
La majorité des répondants à nos sondages affirment qu’ils préfèrent conserver le droit de choisir leurs heures, même si l’autre option leur permettrait de gagner davantage. Nous estimons qu’en tout, cette flexibilité accrue représente une valeur d’environ 2,5 milliards $ pour les chauffeurs et les livreurs.
des chauffeurs et des livreurs affirment que le travail sur des applications leur procure un sentiment d’indépendance.
des chauffeurs et des livreurs ont d’autres responsabilités qu’ils combinent avec leur travail sur des applications.
des chauffeurs et livreurs décrivent leur travail de chauffeur ou de livreur sur des applications, comme un travail à temps partiel ou occasionnel.
Les chauffeurs et les livreurs sont 36 % plus susceptibles que la moyenne des Canadiens d’étudier pendant leurs temps libres.
de chauffeurs et de livreurs combinent leur travail sur des applications avec une autre source de revenus.
Pour les personnes qui ont de jeunes enfants ou des proches âgés, Uber offre la flexibilité nécessaire pour s’occuper de leur famille tout en gagnant leur vie. En profitant de la flexibilité qu’offre Uber, nous estimons que les chauffeurs et les livreurs ont pu passer 150 millions d’heures avec leur famille en 2024.
Cinq ans après le lancement de l’ambitieux projet d’Uber visant à devenir une plateforme zéro émission, des progrès concrets ont été réalisés.1 Aujourd’hui, Uber est l’application de covoiturage zéro émission la plus accessible au pays, les chauffeurs adoptant les véhicules électriques (VE) jusqu’à cinq fois plus vite que la moyenne des automobilistes au Canada.
L’entreprise contribue à réduire la dépendance des gens à l’égard des véhicules personnels. Cette démarche comprend également le soutien aux « premiers et derniers kilomètres », afin d’encourager les adultes à utiliser davantage les transports en commun plutôt que de dépendre de leur propre voiture.
des utilisateurs titulaires d’un permis de conduire, mais ne possédant pas de voiture, affirment que les services de covoiturage comme Uber expliquent en partie pourquoi ils n’en ont pas.
ont utilisé Uber au cours de la dernière année pour combiner leurs déplacements avec le transport en commun.
En facilitant les déplacements sans voiture, nous estimons qu’Uber a contribué à retirer 260 000 des routes canadiennes.
L’entreprise donne aux consommateurs la possibilité de découvrir de nouvelles façons de se déplacer, notamment à bord de véhicules électriques. Plus précisément, Uber Électrique propose des trajets plus durables, permettant aux utilisateurs de choisir des véhicules zéro émission pour leurs déplacements quotidiens. Fait important, les courses Uber Électrique sont offertes au même tarif que les courses UberX, ce qui encourage les utilisateurs à faire des choix plus écologiques.
des utilisateurs se disent plus enclins à commander une course Uber s’ils savent qu’ils voyagent à bord d’un véhicule électrique.
Depuis son arrivée au printemps 2024, Uber s’est rapidement intégré à la vie quotidienne de St. John’s, cette ville portuaire historique située dans la province accidentée, mais accueillante, de Terre-Neuve-et-Labrador. En offrant aux résidents et aux visiteurs un moyen de transport rapide et fiable, l’entreprise marie la technologie moderne aux traditions locales, contribuant ainsi à dynamiser le rythme de vie et les activités économiques de la région.
Nous nous sommes rendus à St. John’s pour observer sur le terrain comment Uber aide les résidents, les entreprises et les visiteurs à tirer le meilleur parti de cette ville côtière animée. Au total, nous avons interrogé plus de 30 personnes : résidents, chauffeurs, travailleurs et touristes.
Le tourisme étant essentiel à la prospérité économique de St. John’s, l’application Uber y a rapidement trouvé sa place. Les chauffeurs sont au cœur de cet essor touristique, alors qu’un nombre croissant de visiteurs internationaux découvrent la ville. Le chauffeur qui est venu nous chercher n’était pas du tout surpris d’entendre des accents étrangers.
« La plupart de nos courses consistent à aller chercher des touristes à l’aéroport pour les déposer au centre-ville. C’est génial, parce qu’on rencontre des gens de partout dans le monde. »
Chauffeur, homme dans la trentaine, St. John’s
Au-delà du centre-ville, Uber aide les visiteurs à rejoindre des zones plus éloignées. Quidi Vidi — un pittoresque village de pêcheurs situé au bord du lac du même nom — abrite la scène florissante des microbrasseries artisanales de St. John’s. Nous avons croisé un groupe animé de quatre touristes juste avant leur course Uber vers leur prochaine destination.
« Pourquoi choisissez-vous Uber? »
« Parce qu’on ne boit pas quand on conduit! »Un groupe de quatre touristes a répondu avant de monter dans leur véhicule, garé devant la brasserie.
Uber Eats est un partenaire naturel pour les entreprises locales, favorisant les liens avec les résidents. L’application aide les restaurants et cafés à composer avec les conditions météorologiques imprévisibles de Terre-Neuve et les variations du trafic piétonnier qu’elles entraînent. Les propriétaires d’un petit commerce de thé aux perles nous ont expliqué qu’Uber Eats leur permet de réduire le gaspillage en écoulant leurs stocks pendant les périodes plus calmes.
« Ça nous aide vraiment durant l’hiver. Quand il fait mauvais, beaucoup de gens restent à la maison. Uber Eats nous aide à traverser ces mois plus difficiles. »
Commerce de thé à perles, moins de 5 employés, centre commercial en périphérie
Pour les nouvelles entreprises, l’effet peut être particulièrement important. Une personne propriétaire d’une boulangerie locale a mentionné qu’Uber Eats avait joué un rôle essentiel dans la croissance initiale de son entreprise, en offrant de la visibilité dans l’application et en aidant à rejoindre des clients qu’elle n’aurait pas trouvés autrement.
« Notre entreprise est encore jeune — nous n’avons ouvert que depuis un an — alors être sur Uber Eats nous aide à faire connaître notre commerce à un plus large public. »
Propriétaire d’une boulangerie, moins de 5 employés, St. John’s
Pour les jeunes de St. John’s, Uber a ouvert de nouvelles possibilités de déplacements sûrs et flexibles, même tard le soir. Nous avons discuté avec une personne qui travaille au marché local pendant qu’elle servait ses clients. Selon elle, Uber a rendu la ville plus accessible pour les jeunes, leur permettant de se déplacer en toute sécurité et de profiter pleinement des bars et des clubs du centre-ville. Cette personne utilise régulièrement l’application pour ses trajets entre le centre-ville et son domicile, et apprécie particulièrement les fonctions de sécurité, comme le partage de position et la carte de suivi en direct.
« C’est pratique : avec Uber, je peux partager ma position avec mon copain, au moins il sait où je suis. »
Personne dans la vingtaine, secteur Rabbittown
Uber offre également aux résidents des occasions de revenus flexibles et pratiques. Nous avons rencontré un chauffeur qui combine ses courses avec ses études à la Memorial University of Newfoundland. Il a expliqué que conduire avec Uber lui permet de gagner sa vie de manière fiable tout en respectant son horaire de cours et en rencontrant des gens de tous horizons.
« On conduit un peu, on gagne quelques dollars, je trouve que c’est un concept vraiment intéressant. On fait quelques courses et on rencontre des gens. »
« Je songe à quitter mon emploi principal, alors c’est une bonne activité complémentaire. »
Chauffeur Uber, homme, quarantaine
Uber joue désormais un rôle de plus en plus important pour les résidents et les visiteurs de St. John’s. En facilitant l’accès à l’emploi, en renforçant les liens communautaires et en soutenant les entreprises locales, la plateforme contribue à rendre St. John’s plus dynamique et mieux connectée.
Depuis son lancement à l’été 2023, Uber est rapidement devenu un élément clé du quotidien à Victoria, la ville-jardin. L’application offre aux habitants et aux visiteurs un moyen pratique de se rendre partout — des restaurants de quartier aux lieux emblématiques, comme les jardins Butchart. L’équipe a passé trois jours sur place pour échanger avec des chauffeurs, des clients, des résidents et des visiteurs, afin de recueillir les témoignages qui illustrent la façon dont Uber contribue à façonner l’avenir de Victoria.
L’application de covoiturage Uber aide la ville à mieux gérer l’afflux constant de touristes. Victoria accueille chaque jour un grand nombre de visiteurs provenant de bateaux de croisière, souvent désireux de profiter pleinement de leur passage sur l’île de Vancouver. Uber constitue aussi une option pratique pour les déplacements du quotidien, surtout lorsque la météo ou les horaires rendent les transports publics moins accessibles.
Nous avons rencontré un touriste assis sur un banc du parc Beacon Hill, pendant que son épouse et son petit-fils de quatre ans découvraient la ferme du parc. Ils faisaient une escale rapide à Victoria avant de poursuivre leur croisière vers Seattle, puis plus au sud, le long de la côte ouest des États-Unis. Avec peu de temps devant lui et un jeune petit-fils à accompagner, il voulait profiter de chaque instant. Pour lui, cela signifiait choisir Uber.
« Je n’avais pas à chercher les lignes d’autobus locales ou quoi que ce soit du genre. J’étais plutôt enclin à dépenser un peu plus pour me simplifier la vie [en prenant Uber], sachant que je ne suis ici que pour la journée. »
Touriste, homme dans la soixantaine, parc Beacon Hill
Uber Eats contribue également à tisser des liens au-delà du centre-ville, en reliant les entreprises locales entre elles. Les clients peuvent découvrir de nouveaux restaurants favoris, profiter de leurs soirées entre amis et rentrer chez eux en toute sécurité. Les entreprises locales situées dans des quartiers plus éloignés de la ville en profitent également, Uber Eats leur offrant de nouvelles façons d’atteindre des clients et de stimuler leur croissance. Nous avons dégusté un excellent repas dans un restaurant local dont le propriétaire estimait que l’application contribuait à élargir la clientèle au-delà du centre-ville.
« C’est sûr que ça aide, ça représente maintenant une grande part de nos ventes, et ça nous permet de nous faire connaître auprès de clients un peu plus éloignés, comme il n’y a pas beaucoup de passage ici. »
Propriétaire de restaurant, 15 à 20 employés, région de Saanich
Uber offre également des possibilités de revenus flexibles, permettant aux résidents de se concentrer sur ce qui compte le plus pour eux. Nous avons rencontré des chauffeurs qui gèrent eux-mêmes leurs horaires, des étudiants ambitieux qui financent leurs études et des travailleurs qui souhaitent simplement gagner un revenu additionnel en parallèle de leur emploi à temps plein.
L’un d’eux a récemment réalisé son rêve de huit ans : devenir auteur publié. Diplômé de l’Université de Victoria, il a commencé à conduire avec Uber il y a un an pour soutenir ses objectifs d’écriture. Uber lui offre la flexibilité de choisir quand il travaille — y compris de réduire ses heures lorsque l’inspiration est au rendez-vous — et lui apporte souvent de nouvelles idées à travers les conversations qu’il partage avec ses passagers chaque jour.
« Je choisis mon horaire. Parfois, quand j’ai une idée, je reste à la maison pour la peaufiner. Et quand je n’ai rien en tête, je sors conduire. Ah oui, il arrive que des passagers me disent quelque chose qui me fait réfléchir, et j’essaie d’en tirer parti dans mon écriture. »
Lorsqu’il traverse une panne d’inspiration, il augmente souvent ses heures de conduite pour optimiser son temps et en apprendre davantage sur la vie de gens issus de milieux variés. Comme il le dit lui-même :
« Quand je n’écris pas, je conduis pour Uber; quand je ne conduis pas, j’écris. »
Pouvoir choisir quand travailler aide aussi les gens à mieux gérer leur santé. Nous avons parlé à un chauffeur qui travaillait auparavant pour une entreprise de transport locale, mais le rythme soutenu des quarts de nuit et du matin commençait à lui peser : « À la longue, on finit toujours par y laisser sa santé. » Conscient qu’il ne pouvait pas continuer ainsi, il a décidé de changer. Depuis qu’il a rejoint Uber, il ne regrette rien. Il choisit désormais des horaires qui lui conviennent mieux — il dort suffisamment, cuisine davantage, mange mieux et prend le temps de voir ses amis quand ils sont disponibles.
« J’ai vraiment souffert d’une carence en vitamine D — il fait tellement sombre ici, et mon ancien horaire de travail allait de 18 h à 6 h. Je devais sacrifier mon sommeil et boire trois cafés par jour pour tenir. Les choses vont beaucoup mieux maintenant avec Uber. »
Il accorde une grande importance à la flexibilité : « C’est moi le patron… c’est la liberté. » Son horaire lui permet désormais de jouer pour son équipe de soccer locale, de suivre son Atlético Madrid adoré et de rendre visite plus souvent à sa famille à l’étranger.
Que ce soit pour le transport, la livraison, le travail ou le bien-être, Uber a déjà eu un effet positif sur la vie de nombreux habitants de Victoria — qu’ils y vivent, y travaillent, y étudient ou y séjournent. Depuis 2023, l’expérience de la ville montre qu’Uber joue un rôle croissant dans la création d’une communauté plus connectée, flexible et accessible.
des Québécois déclarent que le covoiturage les aide à se rendre à des rendez-vous essentiels, comme des rendez-vous médicaux, le travail ou pour aller chercher leurs enfants.
des Québécois reconnaissent que des options comme Uber contribuent à réduire la conduite avec facultés affaiblies dans leur région.
des chauffeurs et des livreurs au Québec combinent leur travail basé sur une application avec d’autres responsabilités, comme un emploi à temps plein, des études ou des responsabilités auprès d’un proche.
« Avec le prix, dans un taxi tu ne vois pas le montant d’avance. C’est donc quelque chose que j’apprécie. Vous pouvez également choisir le prix. C’est une bonne chose. Et je pense que quelqu’un l’a déjà mentionné tantôt. On peut choisir Uber XL : c’est plus cher, mais il y a plus d’espace. Donc quand on voyage et tout, il y a plus d’options que juste un taxi normal. »
Femme dans la vingtaine, Québec
« Non, je ne serais pas contente si Uber disparaissait. Si vous me demandez de recommencer à chercher un taxi, c’est compliqué, et ce n’est pas le même principe que l’application — avec Uber, on sait quand le chauffeur arrive et à quoi s’attendre. »
Femme dans la cinquantaine, Québec
In this report, we used internal Uber data provided for New Zealand, findings from the consumer, driver partner, and delivery person surveys, and researched assumptions from third party sources, for all modelled data points.
We conducted a series of anonymous, online surveys of 1,005 adults (‘consumers’), 490 Uber driver partners, and 479 Uber delivery people in New Zealand. We conducted our online survey through local panel providers, while our survey of Uber driver partners and delivery people was distributed through Uber’s channels, with Public First retaining full editorial control and control of the data collected through the survey.
The results in the consumer survey were weighted using Iterative Proportional Fitting, or ‘Raking’. The consumer survey was weighted by interlocking age, gender, region, and education level to nationally representative proportions. Public First is a member of the British Polling Council and abides by its rules. For more information please contact the Public First polling team: polling@publicfirst.co.uk.
The economic impact of Uber was calculated as the sum of:
This measure is a gross estimate, looking at the total amount of economic activity supported by Uber in New Zealand. It does not attempt to measure what would happen in a hypothetical where Uber no longer existed. Our modelling does not include the impact of Uber’s direct investment or employment of local corporate staff as a company, or any spillover effect this has into the wider tech ecosystem.
This is a gross estimate derived from Uber’s economic impact and Public First’s consumer survey.
We used internal trip numbers data combined with Public First’s polling to estimate the share of trips to shops that would not have happened without Uber Rides. We used Public First’s polling on shopping spend per trip to estimate the total additional spend at local shops due to Uber Rides.
To estimate time savings from Uber Eats, we asked consumers what they would have done instead on their last order if Uber Eats and third-party delivery apps didn’t exist. The options were:
We also asked consumers how long they thought it would take to get to their nearest restaurant and takeaway, how long on average it takes them to prepare and cook a meal, and whether they enjoyed cooking. When calculating the time saved from not cooking we took into account that some people enjoyed cooking and therefore weren’t saving time. This polling allowed us to work out the average time saving per Uber Eats order, which we then combined with Uber’s internal data on the number of Uber Eats orders to calculate the total time saved.
We used Uber’s internal data on the number of Uber Ride trips alongside Public First’s polling to estimate the share of trips to bars, clubs, pubs or restaurants at night as well as the spending per trip. We used Public First’s polling to calculate how many of these trips would not have happened without Uber Rides and applied the spend per trip to estimate the total additional spend for the night-time economy due to Uber Rides.
The model utilised Uber’s internal data on the total payout to restaurants and merchant partners via Uber Eats. We used Public First’s polling to calculate the share of orders that would not have happened if Uber Eats did not exist. We assumed that on average the value per order for those orders that are additional is the same as those that aren’t, and used the share of orders that are additional to estimate the total additional revenue to restaurants and merchant partners.
We used Public First’s polling data which asked riders how long their last Uber trip took, and how long the next best alternative would have taken. We combined this with Uber’s internal data on average trip length and trip numbers to estimate the aggregate time saving.
To calculate the value of this time saving to the economy we used Public First’s polling data on the share of trips used to commute to estimate the time saved for commuters and applied third-party estimates of the value of time for commuting in New Zealand.
To calculate the daily number of Uber Eats orders for birthday parties, date nights, and family meals we used Public First’s consumer polling where we asked consumers how often they used Uber Eats for each purpose. We combined this with Uber’s internal data on the number of Uber Eats deliveries to calculate the number of orders per day for each purpose.
To estimate time savings from Uber Eats, we asked consumers what they would have done instead on their last order if Uber Eats and third-party delivery apps didn’t exist. The options were:
We also asked consumers how long they thought it would take to get to their nearest restaurant and takeaway, how long on average it takes them to prepare and cook a meal, and whether they enjoyed cooking. When calculating the time saved from not cooking we took into account that some people enjoyed cooking and therefore weren’t saving time. This polling allowed us to work out the average time saving per Uber Eats order, which we then combined with Uber’s internal data on the number of Uber Eats orders to calculate the total time saved.
Following the methodology of Brynjolfsson, Collis and Eggers (2019), we asked app users the following single discrete binary choice question:
“Now imagine you had to choose between the following options. Would you prefer to keep access to [ride hailing apps/food delivery apps] or go without access to [ridesharing apps/food delivery apps] for one month and get paid NZ$XX”
We then computed a logarithmic and linear regression of the results of this poll to derive demand curves and calculate the median consumer surplus, averaging the results of the two models. This was then made annual and scaled by users to calculate the total consumer surplus.
To estimate this, we first determined the share of rides that users take that connect to public transport using Public First’s polling data, this was then combined with Uber’s internal data on the number of Uber Ride trips to calculate the total number of rides that connected with public transport. Finally, we derive the estimate by computing the ratio of the number of these rides to public transport against the total number of Uber Ride trips.
To estimate this, we first determined the share of rides that users take that connect to public transport using Public First’s polling data, this was then combined with Uber’s internal data on the number of Uber Ride trips to calculate the total number of rides that connected with public transport. Finally, we derive the estimate by computing the ratio of the number of these rides to public transport against the total number of Uber Ride trips.
To estimate the number of additional hours driver partners spend with their families due to Uber, we first analysed responses to a polling question on the impact of Uber earnings on family time. This question assesses whether driving with Uber allows individuals to spend more time each week with their family or other people important to them. We calculated the total additional hours spent with family by combining Uber’s internal data on the number of driver partners with the average additional hours reported in the polling responses.
As part of the driver survey, we asked the following single discrete binary choice question:
“Imagine you had to choose between one of the following two options:
Which would you choose?”
X was randomised between 1%, 2%, 5%, 10%, 20%, and 50%.
We then used a linear and logit regression to derive a demand curve, and the total driver surplus per user, averaging the results of the two models. This was then scaled up using data provided by Uber on driver partner numbers.